(Xinhua/Zheng Bin)

TAIYUAN, 20 novembre (Xinhua) -- La Chine a envoyé samedi un nouveau satellite depuis le Centre de lancement de satellites de Taiyuan, dans la province du Shanxi (nord).

Le satellite, Gaofen-11 03, a été lancé à bord d'une fusée porteuse Longue Marche-4B à 09h51 (heure de Beijing) et est entré avec succès en orbite prévue.

Développé par la China Aerospace Science and Technology Corporation, le satellite sera principalement utilisé dans les domaines tels que l'arpentage des terres, la planification urbaine, la confirmation des droits terrestres, la conception du réseau routier, l'estimation de la production céréalière, la prévention et l'atténuation des catastrophes.

Ce lancement marque la 397e mission des fusées porteuses de la série Longue Marche. Fin

(Xinhua/Zheng Bin)

(Xinhua/Zheng Bin)

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http://french.news.cn/2021-11/20/c_1310322455.htm

Deux champions de la "science rigoureuse" ne parviennent pas à prouver l'hypothèse de la fuite du laboratoire de la COVID-19 (The Guardian)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-11-20 à 16:43

LONDRES, 19 novembre (Xinhua) -- Deux champions de la "science rigoureuse" n'ont pas réussi à fournir la moindre preuve que le nouveau coronavirus ait été fabriqué et ait fui d'un laboratoire, a récemment rapporté The Guardian.

Matt Ridley, un pair héréditaire conservateur surtout connu pour ses écrits sceptiques sur le changement climatique, et Alina Chan, biologiste moléculaire au Broad Institute de Cambridge, Massachusetts, se sont aventurés dans les recoins les plus profonds du cyberespace dans leur "Recherche de l'origine du nouveau coronavirus", aidés par une bande éclectique de limiers de l'internet qui portent des noms tels que "Seeker", indique le quotidien britannique.

Cependant, ils n'apportent nulle part la preuve que le nouveau coronavirus ait été fabriqué, note le quotidien, soulignant que l'affirmation de Mme Chan selon laquelle le virus semble pré-adapté à la transmission à l'homme "dans une mesure similaire à l'épidémie de SRAS" est très trompeuse. Fin

http://french.news.cn/2021-11/20/c_1310322713.htm

Des fioles étiquetées "variole" trouvées dans un laboratoire américain mettent en évidence des risques de fuite de virus

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-11-20 à 13:06

WASHINGTON, 19 novembre (Xinhua) -- Plusieurs flacons étiquetés "variole" et découverts par hasard dans un laboratoire de l'Etat américain de Pennsylvanie (nord-est) ont suscité une inquiétude quant à une éventuelle menace sur la santé publique que poserait une fuite de virus, ont rapporté les médias locaux.

Un laborantin a trouvé 15 flacons lors du nettoyage d'un congélateur dans un établissement de recherche vaccinale près de Philadelphie, dont cinq étaient étiquetés "variole" et dix "vaccine".

La variole a été une maladie hautement infectieuse causée par le virus du même nom, qui a coûté la vie à 300 millions de personnes au XXe siècle, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui l'a déclarée éradiquée en 1980. La vaccine est quant à elle un virus proche de la variole.

L'hypothèse d'une fuite éventuelle a mis en alerte le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et le ministère de la Sécurité intérieure. En vertu d'un agrément de l'OMS, il n'existe que deux dépôts autorisés de stocks de souches actives de variole, à savoir le siège du CDC à Atlanta et un centre de recherche à Koltsovo en Russie.

Le CDC a déclaré jeudi qu'il n'avait trouvé aucune preuve que les flacons contenaient le virus de la variole et que rien n'indiquait que des employés du laboratoire ou le public aient été exposés à leur contenu, sans toutefois expliquer comment les flacons se sont retrouvés dans le congélateur ni s'il a ouvert une enquête sur une éventuelle fuite de virus.

Le Dr Robert Glatter, médecin urgentiste à l'hôpital Lenox Hill de New York, a indiqué au New York Times que la variole peut être mortelle "même après avoir été lyophilisée". Fin

http://french.news.cn/2021-11/20/c_1310322377.htm

(COVID-19) Le Canada va autoriser l'entrée des voyageurs entièrement vaccinés avec les sérums de Sinopharm, Sinovac et COVAXIN

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-11-20 à 12:19

OTTAWA, 19 novembre (Xinhua) -- Les voyageurs qui sont entièrement vaccinés avec les sérums de Sinopharm, Sinovac et COVAXIN seront autorisés à entrer au Canada à partir du 30 novembre, a annoncé vendredi le gouvernement canadien.

A l'heure actuelle, ce pays n'accepte que les voyageurs qui ont reçu les vaccins de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson.

A partir du 30 novembre également, les personnes quittant le Canada par voie terrestre ou aérienne pour moins de 72 heures ne seront plus tenues de fournir la preuve d'un test moléculaire négatif pour rentrer dans le pays.

Ce changement s'applique uniquement aux Canadiens, aux résidents permanents et aux personnes inscrites en vertu de la Loi sur les Indiens, ainsi qu'aux enfants de moins de douze ans qui les accompagnent et aux personnes présentant des contre-indications médicales à la vaccination.

De plus, à partir du 15 janvier, certains groupes de voyageurs actuellement exemptés des exigences d'entrée ne seront autorisés à entrer au Canada que s'ils sont entièrement vaccinés.

Ces groupes comprennent les personnes voyageant pour rejoindre leur famille, les étudiants internationaux, les athlètes professionnels et amateurs, les personnes possédant un permis de travail valide et d'autres travailleurs des services essentiels, notamment les camionneurs.

"Avec davantage de Canadiens qui se font vacciner chaque jour, nous pouvons avancer prudemment vers une économie et une société aux frontières plus ouvertes", a déclaré le ministre de la Santé Jean-Yves Duclos. "Dans le même temps, nous ne pouvons pas baisser la garde."

A ce jour, le Canada a recensé 1.762.434 cas d'infection et 29.481 décès, selon le gouvernement. Fin

http://french.news.cn/2021-11/20/c_1310322348.htm

Le monde d'aujourd'hui a besoin de la coopération sino-américaine (expert)

French.xinhuanet.com | Publié le 2021-11-20 à 13:26

NEW YORK, 19 novembre (Xinhua) -- C'est "un voeux pieux" pour les Etats-Unis de vouloir traiter la Chine à la fois comme un adversaire et un partenaire, estime le politologue américain Peter Beinart, appelant Washington à accorder la priorité à la coopération avec Beijing.

Résumant la politique et l'engagement de l'administration Biden envers la Chine, ce professeur de journalisme et de sciences politiques à la City University of New York (CUNY) écrit dans une tribune parue jeudi dans le New York Times que les Etats-Unis veulent "travailler avec la Chine pour relever les défis communs tout en la concurrençant en position de force".

Mais "ce n'est qu'un voeux pieux, ces deux objectifs s'opposant", poursuit M. Beinart, ajoutant que "ce n'est que grâce à une coopération beaucoup plus approfondie que les Etats-Unis peuvent s'attaquer à ce qui menace le plus les Américains".

Une telle coopération pourrait aider à résoudre des problèmes cruciaux tels que le changement climatique, le développement de technologies vertes et la pandémie de nouveau coronavirus, estime-t-il.

Pour l'expert, "les vérités dérangeantes du monde d'aujourd'hui nécessitent une coopération élargie entre Washington et Beijing".

Malheureusement, l'antagonisme croissant aux Etats-Unis n'est pas compatible avec une telle coopération, déplore Peter Beinart, exhortant Washington à faire un choix entre "les faucons qui veulent traiter la Chine comme un ennemi et les progressistes qui souhaitent désespérément une action spectaculaire pour prévenir les catastrophes climatiques et de santé publique". Fin

http://french.news.cn/2021-11/20/c_1310322395.htm