- Accueil
- CORÉE DU SUD
CORÉE DU SUD
LA COREE DU SUD VA DAVANTAGE FINANCER LA PRESENCE DE L'OCCUPANT US SUR SON SOL
Par
tourtaux-jacques
Le 08/03/2021
La Corée du Sud va davantage financer la présence militaire des USA
folder_openAsie access_timedepuis 9 heures
starAJOUTER AUX FAVORIS
Par AlAhed avec Reuters
La Corée du Sud va augmenter sa contribution au coût des forces américaines stationnées dans le pays dans le cadre d'un accord conclu avec les États-Unis, a annoncé dimanche le département d'État américain.
L'accord reflète l'engagement de l'administration Biden à «revigorer et moderniser nos alliances démocratiques autour du monde pour faire progresser notre sécurité et notre prospérité communes», a déclaré une porte-parole du département d'Etat.
D'une durée de six ans, il remplacera un précédent accord arrivé à échéance fin 2019.
Le projet inclut une «augmentation significative négociée des contributions de soutien du pays hôte», non précisée par le département d'Etat.
Alors qu'environ 28.500 soldats américains sont stationnés en Corée du Sud, la porte-parole a précisé que plus de 90% des contributions de Séoul au titre de l'accord précédent étaient retournés directement dans l'économie sud-coréenne.
Les négociations avaient été bloquées après que l'ancien président américain Donald Trump avait rejeté l'offre de Séoul de payer 13% de plus, pour un total d'environ 1 milliard de dollars par an, et exigé jusqu'à 5 milliards de dollars.
Séoul verse actuellement à Washington environ 920 millions de dollars par an. L'accord de principe doit encore être approuvé par la Corée du Sud.
Le président américain Joe Biden a promis de revitaliser les alliances américaines après quatre ans de tensions sous Donald Trump et de construire un front uni pour répondre aux défis posés par la Russie, la Chine et l'Iran.
La Corée du Sud a commencé à financer la présence des troupes américaines sur son territoire au début des années 1990, après avoir reconstruit son économie dévastée par la guerre.
Les deux pays ont signé un traité de défense mutuelle à la fin de la guerre de Corée 1950-1953, qui a servi de base au stationnement des forces américaines en Corée du Sud.
https://french.alahednews.com.lb/39038/341
COREE DU SUD : CONFIRMATION DE LA PEINE DE 20 ANS DE PRISON CONTRE L'EX-PRESIDENTE PARK GEUN-HYE
Par
tourtaux-jacques
Le 15/01/2021
Corée du Sud : la peine de vingt ans de prison contre l’ex-présidente Park confirmée
folder_openAsie access_timedepuis un jour
starAJOUTER AUX FAVORIS
Par AFP
La Cour suprême sud-coréenne a définitivement confirmé jeudi 14 janvier la condamnation de l'ex-présidente Park Geun-hye à vingt ans de prison dans le retentissant scandale de corruption qui avait précipité sa destitution en 2017. Cette décision vient mettre un terme à un long processus judiciaire qui avait suivi le départ de l'ex-cheffe de l'État au terme de mois de manifestations massives dans les rues.
Première femme élue présidente en Corée du Sud, Park Geun-hye avait été condamnée en 2018 à trente années de prison pour corruption et abus de pouvoir. Une série de recours et de nouveaux procès avaient par la suite ramené sa peine à vingt ans de détention. Jeudi, le dossier est revenu pour la seconde fois devant la Cour suprême qui a confirmé la peine de vingt ans. La haute juridiction a également approuvé les amendes et indemnités auxquelles l'ex-présidente doit renoncer, et qui s'élèvent en totalité à 21,5 milliards de wons (16 millions d'euros).
Park Geun-hye, qui boycotte de longue date les audiences en dénonçant une justice partiale, était absente jeudi. Elle a en outre été condamnée à deux années de prison pour des infractions aux législations électorales. Ces peines n'ayant pas été confondues, l'ex-dirigeante aura plus de 80 ans si elle purge l'intégralité des 22 années de prison auxquelles elle a été condamnée.
Scandale à tiroirs
Park Geun-hye avait été reconnue coupable d'avoir reçu ou demandé des dizaines de millions de dollars de conglomérats sud-coréens, dont Samsung Electronics, d'avoir partagé des documents classés secrets, d'avoir mis sur une «liste noire» des artistes critiques de sa politique ou encore d'avoir limogé des responsables qui s'opposaient à ses abus de pouvoir. Le scandale à tiroirs avait jeté une lumière crue sur les accointances troubles entre ces conglomérats familiaux et le pouvoir politique, au travers de Park Geun-hye et de sa confidente de l'ombre Choi Soon-sil, qui avaient accepté des pots-de-vin en échange de faveurs politiques.
C'est dans la foulée de sa destitution que l'avocat de centre-gauche Moon Jae-in avait été porté au pouvoir en 2017 en surfant sur la perte de crédibilité des conservateurs.
La Corée du Sud est connue pour la sévérité de sa justice à l'encontre des anciens chefs d'État. Au point que les quatre ex-présidents sud-coréens encore en vie ont tous été condamnés après la fin de leur mandat. L'ancien chef de l'État Roh Moo-hyun s'était suicidé en 2009 après avoir été interrogé sur des soupçons de corruption impliquant sa famille.
La fin du processus judiciaire signifie que Park Geun-hye peut désormais prétendre à une grâce. Il y a quelques semaines, le chef du Parti démocrate (centre gauche) au pouvoir, Lee Nak-yon, avait indiqué qu'il envisageait de «suggérer» une grâce pour Park Geun-hye et pour Lee Myung-bak, un autre ancien président condamné. Mais ces déclarations avaient suscité une levée de boucliers à droite comme à gauche.
https://french.alahednews.com.lb/38274/341
Séoul entrave l’action militaire US contre la Corée du Nord
Entraînement militaire dans la péninsule coréenne. ©Reuters/Archives
Dans un contexte de tension entre Pyongyang et Washington dû à une série d'exercices militaires de haut niveau par la Corée du Nord, Séoul met en garde les États-Unis contre tout déploiement et utilisation d’armes nucléaires dans la péninsule coréenne sans son consentement.
Séoul prévient que les États-Unis ne sont pas autorisés à déployer une force militaire sur la péninsule coréenne sans le consentement de la Corée du Sud, a rapporté Yonhap, ce lundi 14 septembre.
Une affirmation du président sud-coréen en réponse à une question mentionnée dans un ouvrage en cours de parution écrit par Bob Woodward, un journaliste du Washington Post, laquelle suggère que les États-Unis ont soigneusement examiné l'utilisation d'armes nucléaires contre la Corée du Nord en réponse à une série d'essais de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) en juillet 2017 qu'ils qualifient de provocations militaires.
Lire aussi : Coup de théâtre US en pleins pourparlers avec la Russie
"Ce que nous pouvons dire clairement, c'est que l'utilisation d'une arme nucléaire et le déploiement de la force militaire sont impossibles sans le consentement de la Corée du Sud", a déclaré un responsable de Cheong Wa Dae (Bureau du président sud-coréen) aux journalistes.
Le responsable a souligné que de tels reportages peuvent provoquer la vive colère des Sud-Coréens.
Le Pentagone veut désarmer Kim!
https://french.presstv.com/Detail/2020/09/14/634085/Seoul-Washington-Coree-armes-nucleaires
LE PENTAGONE FUIT LA CORÉE DU SUD. LE CAMARADE NORD CORÉEN KIM JONG-UN L'AVAIT PRÉVU
Le Pentagone propose le retrait des troupes américaines de Corée du Sud
Les États-Unis ont déployé leurs troupes en Corée du Sud il ya soixante ans pour surveiller la Corée du Nord. (Photo d'archives)
Le Pentagone a présenté à la Maison-Blanche le plan d’un retrait des troupes américaines de Corée du Sud, a rapporté l’agence Yonhap.
« Ces options avaient été proposées en mars 2020 après un examen attentif du retrait des troupes américaines de diverses régions du monde dont le Moyen-Orient, l’Afrique, l’Europe et l’Asie », a écrit Yonhap.
« Aucune décision n’a encore été prise sur la réduction du nombre de soldats américains en Corée du Sud, (actuellement, 28 500 soldats », ajoute la même source.
Les autorités américaines n’ont pas encore indiqué si le chef d’état-major interarmées américain, Mark Milley, avait informé son homologue coréen de cette décision.
Corée du Sud : les États-Unis font du chantage
La Corée du Sud peut et devrait payer plus pour les troupes américaines, a déclaré Mark Esper.
Cette information a été diffusée après que le président américain, Donald Trump, a récemment décidé de retirer progressivement ses troupes d’Allemagne.
Des sources d’informations à Séoul ont également indiqué que, suite à ces informations, les autorités sud-coréennes tentent de s’assurer de l’exactitude de cette information via leurs liaisons diplomatiques et militaires.
Par ailleurs, lors d’une réunion importante, tenue le samedi 18 juillet, le dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, a abordé les moyens censés renforcer la capacité de dissuasion de la Corée du Nord.
Séoul annonce le retrait 4 000 soldats US de la Corée, Washington le nie
Alors que la presse sud-coréenne évoque le retrait des 4000 GI
Une réunion secrète a également eu lieu pour examiner la mission stratégique des unités clés pour contrer les menaces militaires dans la péninsule coréenne et les moyens de renforcer la capacité de dissuasion de ce pays.
Cette réunion a eu lieu après que Kim a participé en juin à la réunion de la Commission militaire centrale et a suspendu les plans d’action militaires contre le voisin du sud.
Il semble que de tels plans soient élaborés par la Corée du Nord depuis lors et que les négociations avec les États-Unis pour une dénucléarisation en échange de la levée des sanctions ont été suspendues.
Cependant, le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, avait espéré un nouveau tour de négociations entre Séoul et Washington à un « haut niveau » dans un proche avenir, mais les hauts responsables nord-coréens se sont à plusieurs reprises opposés à la tenue d’un nouveau cycle de pourparlers.
Scénario surprise de Kim: la Corée du Sud va larguer les USA?
CORÉE DU SUD : PREMIERS GI's ÉLIMINÉS ?
Corée du Sud : mort suspecte de deux militaires US
Wed Mar 25, 2020 10:16AM
Des soldats américains prenant part aux exercices militaires « Foal Eagle » avec l'armée sud-coréenne au large de Pohang, en 2017. ©Reuters
L’agence de presse sud-coréenne, Yonhap a fait part de la mort suspecte de deux militaires américains pendant la dernière semaine en Corée du Sud.
« Un autre soldat américain stationné à Pyeongtaek en Corée du Sud retrouvé mort, de cause inconnue », a-t-on appris de la même source.
Arme biologique anti-Chine et anti Iran se retournera contre les GI's au Moyen-Orient?
Un soldat américain stationné en Corée du Sud a été retrouvé mort dans sa caserne plus tôt cette semaine, a confirmé mercredi l'armée américaine dans un communiqué.
Le spécialiste militaire Clay Welch a été retrouvé mort dans sa chambre de Camp Humphreys à Pyeongtaek, à 70 kilomètres au sud de Séoul, dimanche et a été déclaré mort sur les lieux par le personnel médical d'urgence, selon la 2e division d'infanterie.
Les causes de sa mort font l'objet d'une enquête, ont déclaré les militaires, bien que les responsables aient déclaré qu'ils ne pensaient pas que sa mort avait quoi que ce soit à voir avec COVID-19.
Sa mort est survenue un jour après qu'une autre soldate américaine au camp Humphreys, Marissa Jo Gloria, 25 ans, a été retrouvée morte dans sa chambre samedi pour des raisons inconnues.
Lire aussi: La COVID-19 fermera les bases US?
Welch, un spécialiste de la médecine de combat âgé de 20 ans, a rejoint l'armée américaine en 2017 et a été envoyé en Corée du Sud le mois dernier.
« La mort de Clay affecte tous les membres de notre formation. Nous sommes tous profondément attristés par la perte », a déclaré le lieutenant-colonel James Armstrong, commandant du bataillon de Welch.
« Les alliés des USA doivent augmenter leurs dépenses militaires », (Trump)
Depuis quelques mois maintenant, les tensions se multiplient entre les États-Unis et la Corée du Sud, alliés historiques, en raison d’un désaccord sur le financement de leur force conjointe. Mais le message de Donald Trump est clair : les alliés des États-Unis doivent augmenter leurs dépenses militaires. Cette demande ne vise pas seulement les alliés européens des États-Unis mais elle englobe également des partenaires asiatiques de la Maison-Blanche. Parmi eux, la Corée du Sud, où stationnent 30 000 soldats américains. Séoul s’était déjà engagée à un effort financier de près d’un milliard de dollars pour son alliance avec les États-Unis l’année dernière. Ce pays est désormais pressé par le président américain de verser une somme environ cinq fois supérieure chaque année.
En effet, Washington a exigé une augmentation cinq fois supérieure des paiements de son allié à 5 milliards de dollars pour couvrir les dépenses liées aux exercices militaires combinés Corée du Sud-USA et au soutien aux familles des troupes de l'USFK (commandant des forces américaines en Corée). Séoul n’a accepté que de payer environ 870 millions de dollars.
Donald Trump a d’ores et déjà indiqué qu’un échec de ces négociations américano-sud-coréennes pourrait entraîner le licenciement temporaire des quelques 10 000 employés sud-coréens travaillant dans les bases américaines, ainsi qu’une remise en cause de la présence militaire américaine dans la péninsule.
La défaite de la corona-stratégie US!
Plusieurs Sud-Coréens se sont récemment rassemblés devant l'ambassade américaine à Séoul, manière d’exiger l’expulsion de l'ambassadeur américain de ce pays.
Ils ont qualifié de cynique et d’inappropriée cette demande de Washington .
Dans un sondage réalisé dernièrement, la plupart des sondés sud-coréens ont estimé que le gouvernement ne devrait pas répondre positivement à la demande américaine d’augmenter des dépenses car la Corée du Sud n'est pas une colonie américaine.
Pandémie : Séoul impose des contrôles stricts aux frontières
La Corée du Sud resserre les contrôles aux frontières pour les entrées américaines
La Corée du Sud a déclaré qu'elle resserrerait les contrôles aux frontières pour les voyageurs en provenance des États-Unis d'ici vendredi alors que les inquiétudes sont en hausse au sujet des cas de coronavirus.
Séoul a imposé des contrôles stricts aux frontières aux visiteurs d'Europe, de Chine, d'Italie et d'Iran, les obligeant à s'inscrire à une application pour smartphone afin de détecter s'ils présentent des symptômes tels que de la fièvre. Une quarantaine obligatoire de deux semaines pour tous les arrivages de longue durée en provenance d'Europe est entrée en vigueur jeudi dernier.
Le Premier ministre Chung Sye-kyun a déclaré que des mesures similaires devraient être mises en œuvre pour les entrées des États-Unis au plus tard vendredi.
Les Centres coréens pour le contrôle et la prévention des maladies ont signalé mercredi 100 nouveaux cas de coronavirus, ce qui porte le nombre total d'infections dans le pays à 9 137. Le nombre de morts a augmenté de un à 126.
La Corée du Sud a déclaré qu'elle enverrait du matériel médical aux États-Unis pour lutter contre le coronavirus s'il en avait de rechange après une demande urgente du président américain Donald Trump dans laquelle il promettait d'aider les entreprises coréennes à obtenir l'approbation du gouvernement américain.
http://french.presstv.com/Detail/2020/03/25/621567/Core-du-Sud--qui-tue-les-militaires-US-
Corée du Sud : "les Yankee dehors", crient des étudiants en colère
Sun Oct 20, 2019 9:47AM
Qui aurait cru qu'un jour, l'anti-américanisme de Pyongyang fasse des émules en Corée du sud au point de lancer les jeunes étudiants sud-coréens à prendre d'assaut l'ambassade US à Séoul? Les États-Unis détiennent 28 500 soldats sur le sol sud-coréen et ce, aux frais de la population qui voit cette présence comme une occupation militaire. Depuis le dégel des liens entre les deux Corée, l'anti-américanisme ne cesse de gagner du terrain en Corée du Sud. Selon les experts, les litiges qui opposent Séoul à Tokyo, allié traditionnel de Washington, devront être compris en ce sens. S'il est vrai que des défilés hostiles à la présence militaire américaine n'ont jamais cessé de mobiliser les Sud-coréens, c'est la première fois que la population s'en prend au symbole de "l'occupation US de leur terre".
PressTV-Ce qui différencie Kim de Ben Salmane
La police sud-coréenne a annoncé samedi avoir arrêté une dizaine d'étudiants protestataires qui avaient pénétré dans la résidence de l’ambassadeur US, à Séoul, la capitale. Les étudiants dont le nombre, selon des sources bien informées, est sous-estimé par les médias officiels, protestent surtout contre Washington et les frais exigés par ce dernier pour maintenir sa présence militaire dans la péninsule.
Les étudiants ont escaladé les murs de la résidence de l'ambassadeur US avant d'afficher des pancartes libellés de slogans antiaméricains en haut des murs. Les États-Unis exigent que la Corée du Sud élargisse ses dépenses militaires pour préserver la présence de 28 500 GI's, qui sème désordre et zizanie dans le pays. Les étudiants qui trouvent de plus en plus l'écho au sein de la population, ont aussi réclamé le départ de l'ambassadeur américain Harry Harris .
« Ce que l'Amérique a fait chez nous, c'est tuer, violer et empoisonner notre pays. Ils mettent en péril la vie de notre peuple », a crié un protestataire, cité par la chaîne US CBS News. L'administration américaine a considérablement augmenté les dépenses de défense, destinées aux 28.500 militaires américains stationnées en Corée du Sud. En février, la Corée du Sud a donné son aval au paiement de 880 millions de dollars pour le déploiement des forces américaines, soit une augmentation de 8.2% par rapport à 2018. Les États-Unis et la Corée du Sud sont sur le point de tenir une nouvelle série de négociations la semaine prochaine alors que le rapprochement du Sud avec le Nord est en bonne voie et que les Sud-coréens ne voient plus aucune nécessité à dépenser pour entretenir les « troupes ennemies ».
PressTV-Pyongyang humilie, de nouveau, Trump
La Corée du Nord a effectué son troisième test de missiles en une semaine.
Harry Harris, l’ambassadeur des États-Unis à Séoul, a remercié la police sud-coréenne d’avoir arrêté des étudiants qui tentaient de pénétrer dans sa résidence et a écrit que « ses chats étaient sains et saufs », un pied de nez à l'égard des manifestants. Ceci étant, l'ambassadeur ne devra plus se sentir à l'aise, la police ayant indiqué que les mesures de sécurité supplémentaires avaient prises chez Harris et que le nombre de forces de police, établies autour de son domicile avait été triplé. Est-ce suffisant?
Le retour de la Corée du Sud à l'axe de l'Est pourrait se faire plus rapidement que prévu, Séoul ayant annoncé cette semaine vouloir reprendre ses pourparlers défensifs avec la Chine au bout de cinq ans de suspension. Le vice-ministre sud-coréen de la Défense est attendu cette semaine à Pékin.
https://www.presstv.com/DetailFr/2019/10/20/609101/Manif-antiUS-en-Core-du-Sud