Politique, Echec et mât
La politique politicienne, voilà comment pourrait se résumer l’ère française et quasi mondiale d’aujourd’hui. Car comme le résume si bien la journaliste au sionisme bien trempé, Elisabeth Lévy: «le média est le premier pouvoir», soit, le vrai pouvoir, celui d’élever ou d’abattre n’importe quel homme politique, n’importe quel gouvernement qui oserait s’opposer à «Israël» et à la gouvernance mondiale.
Avant tout, arrêtons-nous sur ces politiques qui dirigent le pays.
Quel point commun entre François Hollande, Alain Juppé, Pierre Moscovici ou Valérie Pécresse, Arnaud Montebourg, Najat Vallaud-Belkacem et Laurent Wauquiez, Aquilino Morelle, Fleur Pellerin, Marisol Touraine ou Emmanuel Macron? Entre les journalistes Yves de Kerdrel, directeur de Valeurs actuelles, et Laurent Joffrin, celui de Libération, entre l’essayiste libéral Philippe Manière et Pascal Riché, de Rue89, Louis Dreyfus ou Emmanuel Chain? Sans parler de ces têtes bien faites du privé, personnalités aux carrières souvent fulgurantes, as des sciences, de l’art ou de la défense nationale? Tous, à un moment de leur vie, entre 30 et 40 ans, ont été invités, à participer au programme des Young Leaders de la French-American Foundation.
Mis en place par la French-American Foundation (FAF), le réseau des Young Leaders permet aux États-Unis (à l’avant-garde des amitiés d’avec l’entité sioniste) d’entretenir un dialogue avec ce que la France compte de jeunes espoirs de la vie économique, intellectuelle, militaire et politique.
Le puissant réseau est né en 1981, avec pour parrain l’influent économiste franco-américain de Princeton, Ezra Suleiman, président du programme jusqu’en 2000. Il racontait dans un de ses livres, Schizophrénies françaises (Grasset), que sa mission a été de «trouver les personnes qui feraient l’opinion et seraient les dirigeants de leurs sociétés respectives».(1)
La grande force de la FAF est d’accueillir en son sein les représentants politiques issus des grands courants qui officiellement s’opposent. La classe politique française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme sionisto-capitaliste. Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle pour laisser croire au peuple qu’il y a une autre politique possible et ainsi retarder une rébellion des masses.
Ainsi, les Français élurent Nicolas Sarkozy (droite) sans savoir qu’il avait été partiellement élevé par un des principaux chefs de la CIA, Frank Wisner Jr. Non content d’avoir été fabriqué par les États-Unis, il s’était découvert des origines juives et avait cultivé ses relations israéliennes.
Ensuite ils donnèrent leurs voix au président du Parti Socialiste, François Hollande dont la réalité ne se révéla qu’une fois parvenu à l’Élysée. Expert en politique intérieure, il ne connaît pas grand-chose aux relations internationales mais son rapprochement d’avec «Tel Aviv» en ont fait un parfait porte-idées. (2)
Armée asservie
Depuis des décennies en France, nos gouvernements successifs ont lancé une mécanique qui réduit considérablement notre marge d’indépendance sur le plan politico-militaro-stratégique. Mais ce 4 Janvier dernier, un acte sans précédent s’est s’ajouté à la liste des asservissements suicidaires de la nation : un projet de loi déposé discrètement par le gouvernement au Conseil des ministres, autorisant «l’accession de la France au protocole sur le statut des quartiers généraux militaires internationaux créés en vertu du traité de l’Atlantique Nord».
Pour faire simple, sous l’impulsion d’Hollande, qui, durant ses dix années de règne du parti socialiste n’a fait que reprendre les volontés sionistes, le projet de loi officialise discrètement le retour de militaires de l’OTAN sur le sol français. Ainsi, après cinquante ans que la France a quitté cette organisation et que les militaires de l’OTAN ont été expulsés par le général de Gaulle du sol français, le partenariat et l’intégration se résument de nouveau pour la Patrie, à la subordination.
L’OTAN est une machine de guerre américano-sioniste destinée à asseoir leur hégémonie sur des alliés réduits en réalité au rang de simples vassaux exécutant les ordres. (3)
Régis Chamagne, anciennement colonel de l’armée de l’air, fit des déclarations édifiantes sur cette question. Ce qui ressort de son discours c’est que «le but des EU est d’asservir les nations européennes, y compris la France». Or, pour asservir un pays, il faut détruire l’armée, corps défendant de la nation, car «L’armée est à la nation ce que le système immunitaire est au corps». Il ajoute «on perd en liberté d’action parce qu’on est asservi à ce qu’on appelle un «allié», mais un allié n’est pas un ami».